Alors que le pays compte une large part d’enfants, notamment de jeunes filles, non scolarisés, la Fondation Aga Khan (AKF) s’efforce d’améliorer les résultats d’apprentissage des jeunes Syriens.
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L’AKF a mis sur pied 19 000 espaces d’apprentissage alternatifs
L’Initiative d’éducation des adolescentes en période de crise de la Fondation Aga Khan (AKF) vise à autonomiser les adolescentes et les jeunes femmes et à leur permettre d’être les seules décisionnaires quant à leur parcours scolaire. Ce programme a pour objectif d’instaurer des environnements d’apprentissage inclusifs et égalitaires.
Avant la crise que traverse actuellement le pays, nous travaillions avec le Ministère de l’éducation à l’échelle locale et nationale afin de soutenir les programmes du système éducatif. Nous mettions en œuvre plusieurs initiatives, du développement de la petite enfance (ECD) au perfectionnement des enseignants. Le Réseau Aga Khan de développement (AKDN) travaillait avec les autorités locales et les organisations de la société civile afin d’améliorer les programmes d’éducation de la petite enfance et l’enseignement de l’anglais.
En 2002, les agences de l’AKDN ont commencé à mettre en place des salles informatiques et à proposer des formations en informatique dans 12 écoles à travers toute la Syrie. En 2006, nous avons inauguré un centre anglophone de technologies de l’information et des communications à Salamyeh.
Aujourd’hui, nous nous efforçons d’adapter, de localiser, de traduire et de diffuser des modules de cours et d’autres ressources internationales sur la formation des enseignants, le pluralisme et d’autres sujets. Les enseignants visés suivent ainsi un programme de perfectionnement professionnel dans le cadre duquel ils apprennent à créer des environnements d’apprentissage inclusifs.