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Selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS), deux tiers des décès maternels et néonatals du monde en développement sont évitables, mais des obstacles tels que le faible nombre de professionnels de la santé, l’isolement, une mauvaise nutrition et la pauvreté entravent l’accès à des interventions éprouvées et efficaces.
Selon un rapport de 2014 du Fonds des Nations Unies pour la population (UNFPA), des investissements dans la maïeutique pourraient engendrer des retombées 16 fois supérieures. Les sages-femmes sont souvent en première ligne des soins de santé dans les pays en développement, prodiguant des soins essentiels aux femmes et à leur famille pendant l’accouchement et soutenant les familles pendant la grossesse et après l’accouchement.
Le Réseau Aga Khan de développement (AKDN) reconnaît depuis longtemps ce potentiel et consacre d'importantes ressources à la formation et au soutien des sages-femmes en Afrique et en Asie. L’une des initiatives majeures du Réseau à cet égard fut la création de l’École d'infirmières et de sages-femmes de l’Université Aga Khan (AKU-SONAM) il y a plus de 30 ans.
Nous vous invitons à visionner la vidéo « 1 in a million: Zahida's story» (Une sur un million : l’histoire de Zahida), afin de découvrir comment le soutien de l’AKDN auprès des sages-femmes, telles que Zahida dans le nord du Pakistan, a entraîné des améliorations considérables dans la santé des femmes et des enfants.