Au Portugal, le Réseau Aga Khan de développement (AKDN) a pour objectif de favoriser le dialogue et la collaboration avec les pays lusophones.
500 000
Plus de 500 000 Mozambicains ont bénéficié du travail de la Fondation Aga Khan et de ses partenaires multilatéraux et bilatéraux.
L'AKDN travaille au Mozambique depuis 1998, année lors de laquelle un accord de coopération a été conclu avec le gouvernement du pays.
La Fondation Aga Khan (AKF) œuvre au Mozambique depuis 2001 dans les secteurs de l'agriculture, de la sécurité alimentaire, de la santé, de la nutrition, du développement de la petite enfance, de l'inclusion financière, de l'éducation et de la société civile. La Fondation est actuellement active dans la province de Cabo Delgado, dans la province de Niassa dans le secteur de la santé (depuis 2019) et dans la province de Nampula dans le secteur de l'agriculture. Nous avons aidé plus de 500 000 Mozambicains de 2001 à 2020.
Nous travaillons en collaboration avec plusieurs partenaires multilatéraux et bilatéraux, dont les gouvernements du Portugal et du Canada. Nous visons particulièrement les adolescents, les jeunes, les femmes et les populations défavorisées et travaillons avec eux sur les thèmes transversaux du genre et de la diversité.
D'autres agences de l’AKDN sont présentes au Mozambique, comme le Fonds Aga Khan pour le développement économique (AKFED), à l'origine de l'hôtel Serena Polana, de l’opérateur de télécommunications SEACOM et de l'usine textile Moztex, ainsi que les Académies Aga Khan, qui gèrent une école à Maputo pour les élèves exceptionnels issus de tous milieux.
En 2010, un protocole de coopération a été signé avec la Communauté des pays de langue portugaise (CPLP) afin de favoriser la coopération mutuelle et d'améliorer la qualité de vie des populations défavorisées de tous les pays de la CPLP. Un protocole d'intentions a également été signé avec le gouvernement brésilien en 2010 afin de soutenir des actions de coopération dans le but de dynamiser le développement social et économique dans les pays en développement. Ces protocoles ont conduit à la multiplication du nombre de réunions dans des domaines d'intérêt mutuel et au renforcement de la coordination sur les activités de l'AKDN dans les pays lusophones.