AKTC / Cemal Emden
L'édifice émerge des géométries créées par les chemins qui se croisent comme une série de …
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L’Institut a été conçu comme un espace neutre, dynamique, civile et ouvert où les personnes …
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Une passerelle serpente entre les ficus et les cyprès centenaires et relie directement les …
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Les cloisons internes sont réalisées avec du verre pigmenté à l'encre afin d'encourage…
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La conception choisie par l'architecte réduit considérablement l'empreinte du …
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L’amphithéâtre peut accueillir jusqu’à 100 personnes assises et est accessible par une entrée …
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En plus d'un salon, l’amphithéâtre dispose également d’espaces très fonctionnels dont une …
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Le toit-terrasse en béton brut offre un panorama impressionnant sur le paysage et sur la …
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L'édifice émerge des géométries créées par les chemins qui se croisent comme une série de …
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Le salon, le hall d’entrée et la terrasse encouragent et renforcent l'interaction entre …
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Certains des plus grands éléments ou meubles, comme la grande table de la salle de …
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L’Institut a été conçu comme un espace neutre, dynamique, civile et ouvert où les personnes …
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En raison de la douceur du climat de Beyrouth, les besoins en chauffage et en climatisation …
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Une passerelle serpente entre les arbres et relie directement les laboratoires de recherche …
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L'ouvrage comprend tout une série de passerelles qui permet aux piétons et aux personnes …
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Une passerelle serpente entre les ficus et les cyprès centenaires et relie directement les …
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L'un des principaux objectifs que visait l’architecte en divisant les espaces par des …
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Les cloisons internes sont réalisées avec du verre pigmenté à l'encre afin d'encourage…
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Vue intérieure de la salle de lecture - Institut Issam Fares, Beyrouth, Liban.
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La volumétrie et la répartition des volumes s’intègrent bien dans la topographie de lieu, et …
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Vue de l’entrée est creusée dans la structure en béton - Institut Issam Fares, Beyrouth, Liban.
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Des mesures de conception passives, des systèmes actifs très efficaces et des technologies de …
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Situé sur la partie supérieure du campus avec quatre autres édifices historiques, l’Institut …
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Vue de l’Institut à la tombée de la nuit. Le béton brut utilisé pour construire le bâtiment …
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Le projet est un atout majeur pour le campus de l'Université américaine de Beyrouth et …
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Au total, 6 000 m² de béton brut recouvrent l’édifice. Même si les techniques de production …
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La conception choisie par l'architecte réduit considérablement l'empreinte du …
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Dans l’ensemble de l’édifice, ainsi que dans les bureaux, les fenêtres laissent entrer …
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Les chemins, les points de vue et les passerelles au sein du campus confèrent à l’Institut un …
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Les parois vitrées orientées ouest aux quatrième et cinquième étages offrent une vue …
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Cycle de récompense : Cycle 2014-2016
Statut : Lauréat
Pays d'origine : Liban
Localisation : Beyrouth, Liban
Client : Université américaine de Beyrouth
Architecte : Zaha Hadid Architects
Conception : 2007-2008
Superficie : Superficie du site: 7'000 m2; Superficie bâtie: 3’000 m2
Achevé : 2014
Ce nouveau bâtiment, radical dans sa composition mais respectueux du contexte traditionnel, « flotte » au-dessus d’une cour extérieure. L’Université américaine de Beyrouth a lancé un appel d’offres pour la conception d’une structure qui abriterait, sur son luxuriant campus intermédiaire, un think-tank moderne. Cette structure devait être en harmonie avec le reste de l’université, tout en respectant la végétation et en préservant, autant que possible, la vue sur la Méditerranée. D’autre part, l’ouvrage architectural devait suivre le plan directeur de l’université, dont le campus supérieur surplombe l’eau tandis que le campus inférieur donne directement sur le front de mer. L’architecte a répondu au cahier des charges par un concept qui réduit significativement l’empreinte de l’édifice : une salle de lecture « flottante », une salle de conférence et des laboratoires de recherche au-dessus de la cour d’entrée se succèdent sur un cantilever de 21 m de long, sans troubler le paysage. De 3 000 m2, l’ensemble s’articule autour des voies d’accès à l’université ; le bâtiment émerge au-dessus des tracés géométriques que forment ces intersections, telle une série de plateformes et d’espaces imbriqués, dédiés à la recherche et à l’analyse. La répartition des masses et des volumes correspond parfaitement à la topographie, et les ficus et cyprès à proximité s’intègrent à merveille au projet. Sur le plan architectural, le bâtiment reste dans la continuité de la culture libanaise du xxe siècle, qui privilégie des constructions en béton apparent.
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